






Portrait de Marthe et Laurène à l'entrée de l'exposition au Monte-En-L'air.

Présentation de l'exposition.










Gifs pour animer les réseaux sociaux

Le passeport, logo de l'exposition.

Vue de l'exposition le soir du vernissage au Monte-En-L'air.


Exposition Exils Intimes Textes: Laurène Daycard Illustrations: Marthe Pequignot En partenariat avec l'association L'ARDHIS (Association pour le Droit des personnes Homosexuelles et Transsexuelles à l'Immigration et au Séjour) Juillet 2017: à la librairie le Monte-En-L'air à Paris Septembre 2017: au Pavillon des Canaux à Paris Décembre 2017 /Janvier 2018: au Café Frida à Bordeaux Juin 2018: À la Station Gare des Mines à Paris Photographies de l'exposition au Monte-En-L'air: Antonin Verrier Ils s’appellent Madina, Aum, Taftalmiss, Louis, Nathalie ou Bahati, viennent de Russie, de Thaïlande, ou du continent africain, et ils ont tous dû fuir parce qu’ils sont LGBT. La France leur a offert une terre d’asile et l’exposition « Exils intimes » retrace, en dessins et en mots, leurs parcours. Ils sont six, comme les couleurs du drapeau LGBT. Certains sont arrivés en avion, sur un Visa tourisme, d’autres à travers la Méditerranée sur une embarcation de fortune ou par la route, caché à l’arrière d’un camion. Derrière eux, il y a des années d’oppression, parfois même des souvenirs de viols, d’emprisonnement et de tentatives de meurtre. La France n’est pas exempte d’homophobie, et encore moins de transphobie. Mais depuis quelques années, les persécutions en raison de l’orientation sexuelle et de l’identité de genre sont reconnues comme des motifs valables pour obtenir le statut de réfugié.
Portrait de Marthe et Laurène à l'entrée de l'exposition au Monte-En-L'air.
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